Suite à mon article sur notre randonnée à vélo au Portugal de l’Alentejo à l’Algarve en passant par les terres, j’avais promis de faire un article sur les préparatifs et la logistique de notre voyage à vélo avec des enfants. Le voici. Je ne présente que notre organisation personnelle qui nous a parfaitement convenue.
Que ce soient les biporteurs, les triporteurs ou les longtails, comme le mien, on ne peut pas le nier : un vélo cargo électrique, c’est cher. On a beau savoir qu’ils sont fabriqués en petite série et que les coûts ne sont donc pas les mêmes qu’un vélo Décathlon, que les équipements et finitions sont vraiment de bonne qualité…, sortir 3000 balles pour un vélo, ça fait mal. On se dit qu’on va avoir la classe, que les enfants vont adorer, qu’on sauve la planète et que ça nous fait faire de l’exercice, on trouve quand même que ça fait cher pour un vélo. En même temps, ça doit être moins cher que d’acheter et utiliser une voiture. Non ? L’achat d’un vélo cargo serait-il un investissement cohérent et intelligent ? Je vais essayer de finir de vous convaincre avec l’argument financier ! J’ai fait mes comptes et je vous ai préparé une petite étude comparative en adaptant une étude réalisée par weelz.fr à ma propre utilisation. Et vous allez voir combien je vais économiser avec mon vélo cargo électrique Boda Boda de chez Yuba Bikes.
Comme indiqué dans le titre, j’ai parcouru 2500 km cette année avec notre remorque vélo Croozer Kid for 2. 2500 km ! Oui oui 2500 km, c’est ce qu’indique le compteur de mon vélo électrique. J’ai effectué un trajet quotidien qui monte, qui descend et qui tournicote sur des routes parfois en mauvais état avec mes deux enfants de bientôt 4 et 7 ans. Nous avons acheté la remorque d’occasion en 2014. Elle avait très peu servie et était en parfait état. Entre temps, on lui a fait faire le canal du Nivernais, quelques balades et une année intensive de trajets quotidiens. Maintenant qu’elle a beaucoup servie, elle reste en bon état et il est temps de vous présenter mon retour d’expérience.
On y vit depuis 18 mois. Je commence à apprivoiser cette ville et ses alentours. Lisbonne est une dure à cuire. Elle n’est pas du genre baby friendly ! La visite de la ville peut être rude pour les familles. Les rues pavées et pentues excluent les poussettes et cassent les petits mollets. La circulation peut donner le tournis. Les coins de verdure ne se trouvent pas à tous les coins de rues. La foule de touristes et les files d’attente devant les attractions peuvent être décourageantes. Toutefois, il y a plein de subterfuges pour faire de cette destination un chouette moment en famille.
On a tous essayé de tenir le premier livre de notre bébé avec ses premières dents, ses premiers pas, ses premiers mots… Je bien dis « essayé » car pour ma part, autant je m’étais appliquée pour celui de mon aînée, autant le petit frère n’a même pas vu l’ombre d’un album ! Pauvre enfant. Pour ma wishlist de Noël, je voulais quelque chose dans cet esprit-là : des objets pour garder et raviver leurs souvenirs, et plus particulièrement ceux de leurs voyages autour du monde.
Avant d’avoir des enfants, on allait énormément au resto. A l’époque, on vivait à Paris, notre cuisine était petite et nos horaires tardifs. On avait donc nos cantines un peu partout. C’est une habitude qu’on a gardé avec nos enfants, notamment en voyage.
Laissez-moi vous présenter le lit tente pop up ou comment ne plus s’emmerder avec un lit parapluie lourd, encombrant, mono-usage et impossible à plier. Je ne sais pas si c’est moi qui suis nulle ou notre lit parapluie qui est pourri (les deux peut-être), mais je mets toujours une éternité à déplier le lit parapluie et je n’arrive jamais à le replier. Je commence par les petits côtés au lieu des grands, puis un des deux côtés reste bloqué, puis le milieu retombe… C’est la misère. Je déteste les lits parapluies !
Les Parents Voyageurs 